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KIT DE SURVIE IMAGINAIRE POUR UNE GÉNÉRATION CONNECTÉE 

Celle qui voulait qu'on la regarde disparaître

Laurence a 23 ans. Laurence est mannequin de défilé. Laurence est une des meilleures. Non, elle est la meilleure. 

Pourtant, aujourd'hui, elle arrête tout. Fini les séances photos, les pubs et les défilés. 

Aujourd'hui, elle fait une dernière apparition sur les réseaux qui l'adulent, et elle décide de raconter. 

Raconter comment elle est devenue anorexique

Celle qui voulait qu'on la regarde disparaître fait partie du Kit de survie imaginaire pour une génération connectée, avec Cheval de 3.0 et Eden, le dino. Trois spectacles tout terrains autour des enjeux des nouvelles technologies, des imaginaires contemporains et des porosités entre réel et virtuel. 

Les représentations et ateliers en établissement scolaire peuvent être financés via Pass Culture.

Celle qui voulait qu'on la regarde disparaître est un seule-en-scène qui raconte l'histoire de Laurence, d'abord créé et interprété par Claire Besuelle dans la deuxième création du collectif, REGARDE ! 

La performance s'est écrite en dialogue, à deux d'abord (jeu et mise en scène), puis à quatre (scénographie et son). Léger techniquement et "tout terrain", le spectacle interroge les enjeux esthétiques, culturels et politiques des Troubles du Comportement Alimentaire. Il est voué à tourner notamment en collège et lycée, pour générer de l'échange autour de sujets souvent tus, mais pourtant souvent graves et mal connus.

L'équipe de création :

Écriture : Claire Besuelle et

Pauline Rousseau Dewambrechies

Jeu : Claire Besuelle

Mise en scène : Pauline Rousseau Dewambrechies

Scénographie : Cerise Guyon

Création sonore : Luc Montaudon

Celle qui voulait qu'on la regarde disparaître est co-produit par L'Inverso Collectif et soutenu par le Collectif 12, le Rocher de Palmer, le TDI et la Région Île De France.

Le spectacle est lauréat à l'unanimité du prix de la Petite Part, décerné par le jury lycéen du festival Une Petite Part 2023.

AGENDA : 

29 AOÛT-2 SEPTEMBRE 2022 : Résidence d'écriture et de création au Théâtre à Durée Indéterminée (Paris)

OCTOBRE 2022 : Résidence d'écriture

12-15 DÉCEMBRE 2022 : Résidence de création au Rocher de Palmer (Bordeaux)

TOURNÉE :

16, 18, 20 JANVIER 2023 : Lycée Jean Rostand, Mantes-la-Jolie

26 & 27 JANVIER 2023 : Festival Une Petite Part, Lycée Diderot, Paris (19e)

6 AVRIL 2023 : Lycée Condorcet de Limay

23 MAI 2023 : Lycée Saint Exupéry, Mantes-la-Jolie

7 JUILLET 2023 : Théâtre du Cloître - Festival international de Bellac

16 SEPTEMBRE 2023 : Collectif 12, Mantes-la-Jolie

8 JANVIER 2024 : Lycée Condorcet, Limay

7 MARS 2024 : Maison des arts de l'Université Bordeaux-Montaigne

22 MARS 2024 : Collège La Vaucouleurs, Mantes La Ville

23 AVRIL 2024 : Lycée Daniel Ferry, Limeil-Brévannes
24 AVRIL 2024 : Lycée Rosa Parks, Saint-Denis

[TÉMOIGNAGES]
Le jury lycéen du Festival Une Petite Part [premier prix à l'unanimité]
"La pièce parle d'un sujet d'actualité, elle m'a plus que touchée. C'est courageux de s'adresser aux jeunes sur ce sujet, percutant mais en même temps accessible. L'écriture est poétique, toutes les situations jouées sont justes, c'est une performance d'actrice."
[TÉMOIGNAGES]
Des traces écrites par des élèves au cours de la tournée
"Une réelle expérience visuelle et émotionnelle."
"La pièce illustre ce que je n'ai jamais réussi à exprimer"
"Un coup de poing. Encore merci de nous montrer que cette société absurde nous pousse au pire mais que nous pouvons nous en sauver !"
"Je vous remercie d'avoir réouvert des plaies pour qu'elles cicatrisent mieux"
[TÉMOIGNAGES]
La critique de Leslie Ferrat, professeure de lettres
Des jambes rigidement sensuelles sur des talons aiguilles qui viennent, d'un coup, taper contre un empilement de tuperwares transparents font s'écrouler la quantification obsessionnelle. Le dos musclé d'une femme que l'on prend pour le dos d'un homme gros, gras, autoritaire et sadique, effraie, dans sa caricature et son travestissement même. L'actrice, jeune femme de 18 ans, se débat dans un coussin rosâtre difforme qui symbolise à la fois l'oppression de la crise d'angoisse et la déformation systématique d'un corps en souffrance. La permanence rétinienne de quelques images témoigne de ce qu'il serait galvaudé d'appeler une "forte expérience" théâtrale [...]
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